L’argumentaire des annonceurs confrontés à une accusation de greenwashing

L’Académie des Controverses et de la Communication Sensible organise le 19 novembre prochain un séminaire de recherche sur le thème « Publicité et transition écologique« , en partenariat avec la chaire de Relations Publiques et Communication Marketing de l’Université du Québec à Montréal, le Groupe d’étude et de recherche « Communication, Environnement, Science et Société » de la SFSIC, l’Earth and Life Institute et la Fondation Nicolas Hulot pour la Nature et l’Homme.

Ma proposition de communication a été acceptée et j’aurai donc le plaisir d’y présenter les résultats de mes derniers travaux de recherche sur la déontologie publicitaire face à la transition écologique.

Les acteurs de la publicité sont aujourd’hui confrontés à de sérieuses interrogations quant à leur volonté de contribuer à la transition écologique et le modèle d’autorégulation mis en place lors du Grenelle de l’Environnement est directement remis en cause. Alors que l’on pourrait s’attendre à une plus grande vigilance de leur part et à une baisse des cas de greenwashing, c’est l’inverse qui se produit.

Pour comprendre cette situation inédite, j’ai choisi d’analyser les argumentaires des annonceurs et de leurs agences confrontés à des plaintes auprès du Jury de Déontologie Publicitaire pour non respect de la Recommandation Développement durable de l’ARPP.

RDV le 19 novembre pour découvrir les résultats. Événement en ligne, inscription gratuite mais obligatoire sur le site de l’ACCS.

Complément au 12/02/2021 : le résumé et la vidéo de ma communication sont désormais accessibles.


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