Le greenwashing n’est plus ce qu’il était

À lire dans L’Express : « L’utilisation abusive de l’argument écologique a été massive à la fin des années 2000. Depuis, les choses se sont calmées grâce à la pression exercée par les ONG et aux efforts des professionnels. Toutefois, certaines pratiques publicitaires contestables passent encore entre les mailles du filet de l’autorégulation et, surtout, le greenwashing prend de nouvelles formes, plus subtiles. »

Au milieu des années 2000, l’écologie est sur le devant de la scène : rapports scientifiques majeurs (Stern, GIEC…), conférences internationales, Pacte écologique, Grenelle de l’environnement, documentaires et films à succès (Une vérité qui dérange, Le jour d’après…), couverture médiatique sans précédent… Bien sûr, les entreprises prennent massivement la parole sur ce thème porteur. Mais, par facilité et ignorance, cette communication est très souvent en décalage avec les engagements réels des marques. C’est l’âge d’or du greenwashing.

L’utilisation abusive et mensongère de l’argument écologique ou de l’idéal du développement durable se fait de différentes manières : mots vagues, absence de preuves ou d’informations complémentaires, promesse disproportionnée, image trop suggestive… Par exemple, dans le secteur de l’énergie, les fleurons de l’industrie vantent leurs investissements dans les énergies renouvelables alors qu’ils restent ridiculement faibles par rapport à ceux effectivement engagés en faveur du pétrole ou du nucléaire.

Lire la suite de cet article publié le 13 mars sur le club Du business et du sens de L’Express.

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